Au XVIIIe siècle, par souci d’économie mais également portée par une tradition des décors peint à la main, la Suède était friande de faux marbres en trompe-l’œil : les demeures historiques encore en place en sont remplies. MARMOR évoque avec amusement ces motifs peints, grâce à son dessin de gouttes disposées en rayures et imprimées sur lin, dans un camaïeu de bleus et de teintes boisées.